Abdou Aziz Diop, un des conseillers du Président Macky Sall, a exprimé son désaccord quant à un 3e mandat du Président Macky Sall. Il dit garder sa même logique qu’en 2012.
« Le chef de l’État est mal informé. Et, si l’on n’y prend garde, on va vers le flou. Plusieurs collaborateurs de Macky ne suivent pas le rythme et ne sont mus que pour leurs propres intérêts. Ils sont à l’origine de tous les problèmes auxquels Macky Sall est confronté. Et, il est temps que le chef de l’État mette un terme à tout cela ». Ces propos sont du Mbagnick Ndiaye, ancien ministre des sports (2012) puis de la culture (2014) et de l’intégration Africaine (2017) à la veille des élection locales. Cette situation qui avait été décriée continue autour du président. en effet, ce sont ces mêmes personnes qui mettent dans la tête du président qu'il peut faire un 3e mandat.
D'ou cette sortie de certains de ses proches collaborateurs qui nagent à contre courant de cette volonté affichée. c'est le cas de son ministre conseillé Abdou Aziz Diop.
« Je reste exactement sur la ligne de 2012. Une opposition à une 3e candidature, ça se comprend comme elle se comprenait en 2012. C’est ça ma position sur la 3e candidature.
L’arbitre que les constitutionnalises de 2012 avaient dit qu’il est compétent pour trancher ce débat, cet arbitre est toujours là, il s’appelle le Conseil constitutionnel », a-t-il déclaré sur les ondes de la RFM.
Le conseiller spécial à la Présidence de la République s’est tout de même empresser de souligner qu’il appartient au Conseil constitutionnel de trancher le débat.
« Le chef de l’État est mal informé. Et, si l’on n’y prend garde, on va vers le flou. Plusieurs collaborateurs de Macky ne suivent pas le rythme et ne sont mus que pour leurs propres intérêts. Ils sont à l’origine de tous les problèmes auxquels Macky Sall est confronté. Et, il est temps que le chef de l’État mette un terme à tout cela ». Ces propos sont du Mbagnick Ndiaye, ancien ministre des sports (2012) puis de la culture (2014) et de l’intégration Africaine (2017) à la veille des élection locales. Cette situation qui avait été décriée continue autour du président. en effet, ce sont ces mêmes personnes qui mettent dans la tête du président qu'il peut faire un 3e mandat.
D'ou cette sortie de certains de ses proches collaborateurs qui nagent à contre courant de cette volonté affichée. c'est le cas de son ministre conseillé Abdou Aziz Diop.
« Je reste exactement sur la ligne de 2012. Une opposition à une 3e candidature, ça se comprend comme elle se comprenait en 2012. C’est ça ma position sur la 3e candidature.
L’arbitre que les constitutionnalises de 2012 avaient dit qu’il est compétent pour trancher ce débat, cet arbitre est toujours là, il s’appelle le Conseil constitutionnel », a-t-il déclaré sur les ondes de la RFM.
Le conseiller spécial à la Présidence de la République s’est tout de même empresser de souligner qu’il appartient au Conseil constitutionnel de trancher le débat.
