Cette volonté de Paris semble prendre de plus en plus pied à Dakar. Objectif, contrôler d’abord le futur président de la république du Sénégal. Pour y arriver, la France s’est lancée dans le coaching de leur homme qui sera au contrôle du Sénégal. C’est ainsi qu’il faut constater ce vaste lobbying international sur Dakar. Ils sont au cœur de cette forte pression entreprise sur le président Macky Sall sur le choix de son candidat pour la présidentielle de 2024. Et tous les moyens sont bon pour atteindre cet objectif.
C’est pourquoi la sortie à Dakar du patron de Jeune Afrique n’est pas anodin. Elle est bien programmée avec un but bien précis : Il s’agit de faire passer Amadou Ba leur « poulain » devant Abdoulaye Daouda Diallo et Boun Abdalah Dione.
Il faut rappeler qu’un « lobbying » ou la « représentation d'intérêts » désigne une activité qui consiste à prendre l'initiative d'entrer en contact avec des personnes chargées d'élaborer et de voter les décisions publiques ou de conduire l'action publique nationale ou locale pour influencer leurs décisions. Et ceci reste, le plus souvent pour ne pas dire principalement, l’activité de franc-maçons. Rappeler justement que depuis plus de vingt ans, la Grande Loge nationale française (GLNF) mène une large offensive afin de s’implanter dans les cercles du pouvoir africain où ministres et chefs d’État ont déjà été initiés. L’ex-grand maître Jean-Charles Foellner, très souvent en mission en Afrique, et son successeur, l’avocat d’affaires niçois proche de Nicolas Sarkozy, François Stifani, ont été les principaux artisans de cette conquête. Jeune Afrique au cœur de de ce dossier, nous renseignait dans une de ses publications que : « initié dans une loge au Sénégal, c’est devant Foellner que Denis Sassou Nguesso a prêté serment comme grand maître de la Grande Loge du Congo en novembre 2007.
Contrairement à ce que pensent certains, Marwane Ben Yahmed qui a désigné Amadou Ba comme le candidat le mieux placé pour diriger les troupes de la mouvance présidentielle au scrutin de 2024, ne fait pas de la météo politique. Marwane, à l’image de certains autres chefs d’État ou autres influenceurs tapis dans l’ombre, exprime une volonté commune des lobbying internationaux. C’est en quelque sorte la françafrique qui refait surface ou qui poursuit sa main mise sur l’Afrique et principalement le Sénégal à travers ce dossier.
Pour beaucoup, ce système de gouvernance par cooptation trouve son fondement dans la Françafrique. De Jacques Foccart, le « Monsieur Afrique » de De Gaulle, à Nicolas Sarkozy, en passant par François Mitterrand, la franc-maçonnerie a souvent servi de réseau d’information et de lobbying dans les plus hautes sphères du pouvoir économique et politique. Nombre de ministres de la Coopération (dont Christian Nucci et Jacques Godfrain), des responsables des services de renseignements (comme Marcel Leroy ou Alain Juillet) ou des responsables de l’Agence française de développement (AFD) sont ou ont été francs-maçons.
La Françafrique, un terme qui raconte une partie de l'histoire des liens complexes entre Paris et ses anciennes colonies. Senghor, Bongo, Eyadema ont suivi dans les pas feutrés d'un Jacques Foccart, faiseur de roi, du général de Gaulle, artisan du franc CFA, et installateur des troupes françaises dans les anciennes colonies. L'époque d'une vraie politique française en Afrique. Un système mafieux que les sénégalais n’aimeraient revivre. Le pétrole et les biens mal acquis, les valises de billets, les élections truquées, les putschs, les maçons et les barbouzes... 60 ans plus tard, les vieux crocodiles sont tous morts, mais on palabre toujours sur la Françafrique. C’est le cas actuellement au Sénégal avec différentes sorties de ces influenceurs qui semblent soutenir la candidature de Amadou BA. Un gros risque pour le parti au pouvoir s’il est désigné candidat car les Sénégalais ne sont plus près à voter pour un candidat qui est à la solde de la France ou par des maçons.
C’est pourquoi la sortie à Dakar du patron de Jeune Afrique n’est pas anodin. Elle est bien programmée avec un but bien précis : Il s’agit de faire passer Amadou Ba leur « poulain » devant Abdoulaye Daouda Diallo et Boun Abdalah Dione.
Il faut rappeler qu’un « lobbying » ou la « représentation d'intérêts » désigne une activité qui consiste à prendre l'initiative d'entrer en contact avec des personnes chargées d'élaborer et de voter les décisions publiques ou de conduire l'action publique nationale ou locale pour influencer leurs décisions. Et ceci reste, le plus souvent pour ne pas dire principalement, l’activité de franc-maçons. Rappeler justement que depuis plus de vingt ans, la Grande Loge nationale française (GLNF) mène une large offensive afin de s’implanter dans les cercles du pouvoir africain où ministres et chefs d’État ont déjà été initiés. L’ex-grand maître Jean-Charles Foellner, très souvent en mission en Afrique, et son successeur, l’avocat d’affaires niçois proche de Nicolas Sarkozy, François Stifani, ont été les principaux artisans de cette conquête. Jeune Afrique au cœur de de ce dossier, nous renseignait dans une de ses publications que : « initié dans une loge au Sénégal, c’est devant Foellner que Denis Sassou Nguesso a prêté serment comme grand maître de la Grande Loge du Congo en novembre 2007.
Contrairement à ce que pensent certains, Marwane Ben Yahmed qui a désigné Amadou Ba comme le candidat le mieux placé pour diriger les troupes de la mouvance présidentielle au scrutin de 2024, ne fait pas de la météo politique. Marwane, à l’image de certains autres chefs d’État ou autres influenceurs tapis dans l’ombre, exprime une volonté commune des lobbying internationaux. C’est en quelque sorte la françafrique qui refait surface ou qui poursuit sa main mise sur l’Afrique et principalement le Sénégal à travers ce dossier.
Pour beaucoup, ce système de gouvernance par cooptation trouve son fondement dans la Françafrique. De Jacques Foccart, le « Monsieur Afrique » de De Gaulle, à Nicolas Sarkozy, en passant par François Mitterrand, la franc-maçonnerie a souvent servi de réseau d’information et de lobbying dans les plus hautes sphères du pouvoir économique et politique. Nombre de ministres de la Coopération (dont Christian Nucci et Jacques Godfrain), des responsables des services de renseignements (comme Marcel Leroy ou Alain Juillet) ou des responsables de l’Agence française de développement (AFD) sont ou ont été francs-maçons.
La Françafrique, un terme qui raconte une partie de l'histoire des liens complexes entre Paris et ses anciennes colonies. Senghor, Bongo, Eyadema ont suivi dans les pas feutrés d'un Jacques Foccart, faiseur de roi, du général de Gaulle, artisan du franc CFA, et installateur des troupes françaises dans les anciennes colonies. L'époque d'une vraie politique française en Afrique. Un système mafieux que les sénégalais n’aimeraient revivre. Le pétrole et les biens mal acquis, les valises de billets, les élections truquées, les putschs, les maçons et les barbouzes... 60 ans plus tard, les vieux crocodiles sont tous morts, mais on palabre toujours sur la Françafrique. C’est le cas actuellement au Sénégal avec différentes sorties de ces influenceurs qui semblent soutenir la candidature de Amadou BA. Un gros risque pour le parti au pouvoir s’il est désigné candidat car les Sénégalais ne sont plus près à voter pour un candidat qui est à la solde de la France ou par des maçons.