Le mardi 13 août 2024, plusieurs dirigeants d'entreprises de presse au Sénégal ont organisé une "journée sans presse" pour attirer l'attention sur leurs difficultés financières. Cette action visait à dénoncer la pression fiscale exercée par le gouvernement, qui réclame le paiement des arriérés d'impôts. Ces dettes fiscales devaient être annulées avant décembre 2023, selon une promesse faite par l'ancien président Macky Sall, mais cette mesure n’a jamais été mise en œuvre.
Suite à cette journée de protestation, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a reconnu que la situation du secteur médiatique mérite une attention particulière de la part du Gouvernement, ainsi que la mise en place de mesures de redressement adaptées.
« Une presse professionnelle, responsable et respectueuse de l’État de droit constitue un pilier essentiel de notre démocratie. C’est pourquoi j’ai demandé au Gouvernement, et plus particulièrement au Ministre de la Communication, de garantir l’application stricte du Code de la presse et de veiller au bon fonctionnement des entreprises de presse. Cela devra se faire dans un esprit d’ouverture et de dialogue permanent, afin d’assurer le respect des cahiers des charges signés », a déclaré le Président Faye.
Suite à cette journée de protestation, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a reconnu que la situation du secteur médiatique mérite une attention particulière de la part du Gouvernement, ainsi que la mise en place de mesures de redressement adaptées.
« Une presse professionnelle, responsable et respectueuse de l’État de droit constitue un pilier essentiel de notre démocratie. C’est pourquoi j’ai demandé au Gouvernement, et plus particulièrement au Ministre de la Communication, de garantir l’application stricte du Code de la presse et de veiller au bon fonctionnement des entreprises de presse. Cela devra se faire dans un esprit d’ouverture et de dialogue permanent, afin d’assurer le respect des cahiers des charges signés », a déclaré le Président Faye.
exclusif net